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Låttexter: Sexion D'Assaut. Les Chroniques Du 75. En Attendant L'apogée. Traqué.

:
Akhi, c'est juste un son, avant "l'apogee".
Les chroniques du 7.5 Volume 2.

Ici j'etouffe comme l'asthmatique qui est allergique a l'oxygene.
Ils m'empechent de parler, faut bien que j'expire les mots qui genent.
& vu les portes qui se ferment tu restes que-blo dans l'profit d'air.
L'herbe s'enflamme assez vite, c'est l'cas avec une grosse citerne (Merde)
Si t'as une mere evite que ta tete goute la terre ferme,
Meme si t'as pas une tune, t'as saisis, qu't'as tout a perdre frere.
Toute la presse nous coule, souvent ca coute la tete
Certes, tant que j'leur vend pas mon corps j'm'en bat les couilles de tout ca,
Meme j'reste fier c'pour ca qu'j'm'exerce, est-ce pour ca qu'j'excelle ?
T'es responsable d'etre vierge ! Ou est ce qu'on va ? J'laisse faire.
Masta ressaisis toi, tu gagnes ce combat c'est clair !
Ils sont grands parce que t'es a genoux, leve toi : ils tomberont par terre.
Beaucoup de contestataires dans le fond ne sont bons qu'a s'taire,
En fait on est comme des moutons aveugles donc on la ferme !
Les profs font des guerres intellectuelles, j'suis du-per dans des debats, des arguments qui justifient l'adultere.

(Refrain x2) :

J'bougerai bien pour prendre le large.
Mais quiconque retourne sa veste trahi son gang de base,
Tous revent qu'on creve, bande de laches !
J's'rais pas tant tenace si un jour la chance me lache. (DEBOUT)

Ceux qui vendent d'la Sesse volent le sourire de ceux qui la prenne, stress pour pouvoir obtenir ce qui les apaisent.
Pour ceux qui attestent qu'on sent la mort comme la peste.
J'suis blanc & tu me detestes, j'suis comme les murs de ta tece.
J'ai grave envie d'bedave pourquoi mon corps reclame sa mort ?
J'suis connu mais j'prend l'metro j'm'en bat les couilles j'ai pas d'gamos.
On a fait l'son "desole" car on sait bien qu'nos sons t'amoches.
T'as trop parle donc pour cracher tu dois racler le fond d'ta gorge,
Pour qu'tu te taises faut qu'on t'egorges, impulsifs donc on deborde.
On est des potes qui baisent le Biz tout en etant desordonnes,
Tranquille dans l'ventre de ma mere & des qu'j'suis ti-sor, j'ai constate qu'ces cons d'adultes etaient en quete de discordes.
Bete, on s'dit fort, hop, un moustique nous rend faible, un president xenophobe c'est comme un fou qui t'enseignes.
On a pas perce trop tot, y a tous mes bouts qui gambergent.
Y a des groupies qui m'encerclent mais faut pas que j'oublie l'enfer.
On est jamais solide tant qu'on depend d'un bout d'papier, on est qu'pour les gardiens d'la paix decide enfin d'nous foutre la paix.
La rue a deteints sur nous tous pourtant j'suis l'seul a etre blanc !
J'ai p't'etre vesqui ses coups d'crasse, est ce que ma gueule est etanche ?
Elle t'hypnotises, tu la guette, elle te tente.
Tu finis bedotiv' : tes potes te trouvent inquietant !
Y a personne qui cotise, quand t'es mort, pour ta tombe ! Tu dois deja beaucoup de Biz, meme si t'es dead ca compte !

(Refrain x2) :

J'bougerai bien pour prendre le large.
Mais quiconque retourne sa veste trahi son gang de base. (DEBOUT)
Tous revent qu'on creve, bande de laches !
J's'rais pas tant tenace si un jour la chance me lache. (DEBOUT)

J'pouvais pas partir sans t'parler des keufs pourris,
donc celle la c'est pour Arnold, donc celle la Larbi,
donc celle la c'est pour Bylka qui a bien salit les rues d'ma ville.
Passe pas l'pouvoir a un seul homme il en abusera toute sa vie.
J'baigne dans la merde, il est temps de nager !
On passe notre temps a decrasser ce qu'ils essayent tant de tacher, comme une pute qui vend sa chair mais tente de s'en detacher.
T'aimerai refaire ta vie mais y a trop de temps qui est passe.

(Refrain x2) :

J'bougerai bien pour prendre le large.
Mais quiconque retourne sa veste trahi son gang de base. (DEBOUT)
Tous revent qu'on creve, bande de laches !
J's'rais pas tant tenace si un jour la chance me lache. (DEBOUT)

(Merci a FrogOups pour cettes paroles)