Låttexter: Didier Barbelivien. Les Arbres.
Tete de pomme
Tete de noix
Ils se parlent entre les branches
Bille de pin
Gueule de bois
Tu finiras comme une planche
Tete de pomme
Tete de noix
Si tu voyais
Comme tu penches
Marronniers
Saules pleureurs
Ils se racontent leur misere
Cerisiers sans tes fleurs
T'as l'air d'un bois ordinaire
Ils s'insultent en douceur
Sapins bleus et Sapins verts
Ces hommes debout tellement fragiles
Comme les croix d'un long cimetiere
Depuis des siecles immobiles
Prisonniers d'un jardin de terre
Ce sont des fantomes admirables
Les arbres
C?ur grave
Sur leur corps
Feuilles arrachees par l'orage
Centenaire jeune encore
Fatigues du paysage
Chenes verts Chenes morts
Pour eux le temps n'a plus d'age
Promeneur solitaire
Chaque fois qu'un oiseau s'envole
En foret de fougere
Tu peux me croire sur paroles
Promeneur solitaire
Moi je te dis qu'ils rigolent
Ces hommes debout tellement fragiles
Comme les croix d'un long cimetiere
Depuis des siecles immobiles
Prisonniers d'un jardin de terre
Ce sont des fantomes admirables
Les arbres
Bucherons de Dordogne
Quand ils voient venir ton heure
Ils se disent quand tu cognes
Que le manche etait des leurs
Bucherons ils pardonnent
Aux crimes et a la douleur
Tete de noix
Ils se parlent entre les branches
Bille de pin
Gueule de bois
Tu finiras comme une planche
Tete de pomme
Tete de noix
Si tu voyais
Comme tu penches
Marronniers
Saules pleureurs
Ils se racontent leur misere
Cerisiers sans tes fleurs
T'as l'air d'un bois ordinaire
Ils s'insultent en douceur
Sapins bleus et Sapins verts
Ces hommes debout tellement fragiles
Comme les croix d'un long cimetiere
Depuis des siecles immobiles
Prisonniers d'un jardin de terre
Ce sont des fantomes admirables
Les arbres
C?ur grave
Sur leur corps
Feuilles arrachees par l'orage
Centenaire jeune encore
Fatigues du paysage
Chenes verts Chenes morts
Pour eux le temps n'a plus d'age
Promeneur solitaire
Chaque fois qu'un oiseau s'envole
En foret de fougere
Tu peux me croire sur paroles
Promeneur solitaire
Moi je te dis qu'ils rigolent
Ces hommes debout tellement fragiles
Comme les croix d'un long cimetiere
Depuis des siecles immobiles
Prisonniers d'un jardin de terre
Ce sont des fantomes admirables
Les arbres
Bucherons de Dordogne
Quand ils voient venir ton heure
Ils se disent quand tu cognes
Que le manche etait des leurs
Bucherons ils pardonnent
Aux crimes et a la douleur
Barbelivien, Didier
Barbelivien, Didier